mercredi 29 février 2012

Au menu du mois de mars : 11 activités pour bien manger sans se ruiner

Je vous invite à participer en grand nombre aux activités de mars dans le cadre du Mois de la Nutrition. Au menu : 11 activités, gratuites ou à petit prix, sur le thème Bien manger sans se ruiner. Vous pourrez apprendre à faire votre pain, découvrir la cuisine moléculaire, assister à une conférence-dégustation, cuisiner en famille ou suivre un cours de cuisine animé par la cheffe du Leméac. Les activités sont organisées par différents organismes de Rosemont, ce qui permet de mieux connaître les ressources du quartier. L’érablière urbaine, au parc Molson, le samedi 10 mars, marquera un moment phare dans la programmation. C’est avec grand plaisir que j’y ferai un tour.

Vous trouverez tous les détails dans la programmation complète, disponible au http://cdcrosemont.org/PDF/Depliant_Mois%202012.pdf .

La sécurité alimentaire est un enjeu prioritaire pour mon équipe. Ma collègue Maeva Vilain s’est d’ailleurs impliquée dans le comité organisateur du Mois de la Nutrition, un des nombreux comités de la Coalition sécurité alimentaire de Rosemont. La sécurité alimentaire, c’est d’avoir accès à de la nourriture en quantité et en qualité suffisante. Pour ce faire, il faut apporter des changements à différents niveaux. C’est pourquoi nous travaillons à la fois sur des initiatives locales et sur une stratégie en matière d’alimentation qui amènerait des changements à travers le pays.

Cette stratégie en matière d’alimentation a été élaborée suite à une grande tournée de consultations dans 28 collectivités canadiennes réalisée en 2008-2009 par Jack Layton et Alex Atamanenko, porte-parole en matière d’agriculture, d’agro-alimentaire et de sécurité alimentaire. Cette stratégie prévoit notamment un étiquetage approprié des aliments (provenance, valeur nutritionnelle et OGM) et l’obligation pour les produits importés de se conformer aux normes environnementales et sanitaires canadiennes. Les petits agriculteurs canadiens devraient bénéficier de mesures fiscales et d’encouragements pour vendre sur le marché local. Il faudrait aussi analyser les conséquences des ententes commerciales internationales sur les agriculteurs canadiens.

En attendant de mettre ce beau programme en œuvre, je vous souhaite un beau mois de la nutrition!

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